Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !
Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.
Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !
dimanche 23 mai 2010
samedi 15 mai 2010
Je ne parviens pas à me faire une idée relativement à la réforme des retraites, Les posteurs de tous me semblent fausses. Il faudrait absolument laisser les gens qui ont des boulots pénibles aprtir tôt, ça n'est que justice, mais les syndicats se refusent, si j'ai compris, à établir des distinctions entre boulots, la négo doit-être globale. En même temps, je ne vois pas en quoi un employé de bureau va protester de travailler jusqu'à 65 ans, tout de même, où est la problème ? Moi, ça ne me gêne pas, voire : ça m'arrange, parce que 20 de retraite, ça me fait chier.
Inscription à :
Articles (Atom)